Nous ne sommes pas tous égaux face aux insomnies. Certaines prédispositions et situations nous mettent plus à risque d’en développer.
Prenez connaissance de ces premiers facteurs de risque afin de mieux prévenir les insomnies.
Les femmes sont plus sujettes aux insomnies que les hommes
Entre les cycles menstruels, les grossesses et la ménopause, il y en a des perturbations hormonales !
Dans chacune de ces situations, une femme subit des variations hormonales et les symptômes qui vont avec :
- Douleurs
- Augmentation de la température corporelle
- Bouffée de chaleur
- Labilité émotionnelle
- …
Tous ces éléments agissent sur la qualité du sommeil. En être conscient permet de prévenir les insomnies. Votre sommeil peut subir des perturbations, mais prévenir les insomnies avec les bons gestes permet d’en limiter l’impact.
Les insomnies augmentent avec l’âge
Passé 60 ans, plusieurs changements viennent perturber le sommeil.
La retraite est proche et implique un changement d’habitudes. Le rythme est perdu, le quotidien est moins cadré.
- L’heure de lever et coucher varie plus facilement.
- Les dépenses physiques sont moindre.
- La vie sociale diminue.
Les habitudes sont importantes pour notre organisme.
Elles lui permettent d’avoir des repères. Ils sont indispensables pour délivrer les bonnes hormones au bon moment. C’est elles qui nous permettent d’être actif la journée et de relâché le soir.
En variant les heures de coucher et de lever, le cerveau ne sait plus quand il faut être alerte ou relaxé.
Alors veillez à conserver un cadre avec une bonne routine. Des repas à heures régulières, des activités physiques et une vie sociale sont essentielles !
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Mais ça n’est pas tout. Naturellement, les phases du sommeil changent et le sommeil léger prend davantage de place. Cela multiplie les réveils nocturnes et amène le lever de plus en plus tôt.
C’est pourquoi les siestes sont plus fréquentes à partir d’un certain âge. Mais attention à ne pas en abuser !
Les horaires décalés augmentent le risque d’insomnie
Comme à la retraite, les horaires décalés perturbent le rythme de vie. Les hormones jouent encore une fois leur rôle. Il est d’avoir un bon cadre pour compenser le manque de régularité de vos horaires de travail.
De plus, les métiers qui imposent des horaires décalés sont souvent stressant et sollicitant. On peut citer les métiers de la santé, de la sécurité, du transports, etc. Il est plus difficile de ne pas laisser la pression et le stress du travail envahir le quotidien.
Avoir des activités plaisirs et un quotidien rassurant, composé d’un bon cadre, aide le cerveau à se relaxer.
Le stress : la base des insomnies
Les personnes stressées sont plus sujettes aux insomnies, peu importe la source de stress.
Le stress entraîne plus de pensées et d’émotions négatives. Autant d’éléments qui mettent votre cerveau en alerte le jour… et la nuit !
Les ruminations viennent facilement et empêche de trouver le sommeil. Le cerveau, plus alerte, maintient un sommeil plus léger, au cas où il faudrait vite se réveiller.
Le stress des insomnies et de leurs conséquences sur la journée peut vite amener à mettre en place des habitudes pour mieux les vivre. Cependant, elles s’avèrent souvent contre-productives sur le long terme.
Le sommeil ne peut être récupérateur dans ces conditions.
Peu importe votre profil et votre degré d’exposition au risque d’insomnie, vous pouvez apprendre à mieux les gérer et diminuer leur impact.
Pour cela, il vous suffit de travailler sur votre quotidien. Vos habitudes, votre hygiène de vie, vos pensées, vos comportements… Ce sont autant d’éléments que vous travaillerez en rejoignant le programme Moonoa. Alors n’hésitez plus !
